Economie & Stratégie d’Achats

Les politiques d’achat et de négociation des prix avec les fournisseurs de biens d’équipements industriels ont atteint leurs limites pour des produits de « qualité Européenne ». Ceci est consécutif notamment à la massification au niveau Européen ou Monde des achats de moyennes et de grandes entreprises. C’est aussi la conséquence de la création de centrales et de groupement d’achats.

Ceci ne permet plus de réaliser des économies importantes, lors des nouvelles négociations et le maintien des niveaux des prix atteints est aujourd’hui rendu difficile par la variabilité sur les marchés internationaux des prix des matières premières.

Les entreprises qui souhaitent poursuivre leurs plans d’économies continuent à « surveiller » le positionnement prix de leurs fournisseurs, mais s’orientent beaucoup plus résolument vers des approches jusqu’ici parfois totalement négligées et pourtant beaucoup plus impactantes en termes de coût que le gain de quelques euros sur l’acquisition de biens d’équipements ou sur leurs contrats d’entretiens. Parmi celles-ci, on trouve notamment :

– Les approches TCO (Total Cost Ownership). Il s’agit de comparer aux coûts d’acquisition (longtemps le seul qui ai été pris en compte par les acheteurs) le coût de l’acquisition, ou de la location longue durée de celui-ci d’ailleurs, et de tous les coûts qui viendront peser sur les coûts de l’entreprise qui l’utilise. Ces coûts sont évidemment financiers (coûts d’acquisition ou location, coûts service après-vente), mais touchent aussi à l’énergie, au personnel utilisateur, aux assurances notamment.

L’optimisation énergétique est une question centrale. Certaines solutions ont recours à l’énergie électrique du réseau, aux énergies fossiles (gaz, diesel, ou gazole non routier) ou à l’énergie sur batteries.
A l’acquisition certaines solutions peuvent être, facialement plus couteuses en optant pour des énergies de type Liion, mais l’analyse fine TCO permet de relativiser les coûts évidents et ainsi de réaliser des économies très importantes sur ce qui pèse sur les comptes de l’entreprise qui veut investir.

Les optimisations de flottes sont également un axe important d’économies. Plutôt que de baisser les coûts d’acquisition et d’entretien, réduire les flottes est une piste qui est explorée par beaucoup de groupes et en particulier dans l’industrie. Les compactages, optimisations de flottes et autres exercices de « lean managment » sont particulièrement recherchés en ces périodes particulières. Faire aussi bien avec des moyens optimisés, souvent après nivellement par le haut des solutions retenues, permet d’obtenir des résultats tout aussi bons, en accompagnant le changement et en obtenant l’adhésion des équipes et des Institutions Représentatives du Personnel ce qui est un plus.

L’automatisation, et les solutions qui permettent de se soustraire à l’obligation d’avoir recours aux caristes est une autre piste d’économie importante. Après être passé par « la case » investissement, souvent important, les économies réalisées sont souvent colossales. C’est la raison pour laquelle nombreux sont ceux qui explorent cette autre piste. L’impact social, contrairement à ce qu’il y parait, permet à l’entreprise d’investir dans son développement, dans la recherche de nouvelles solutions, ou de concentrer les ressources humaines sur des missions à plus fortes valeurs ajoutées ou pour certaines qui requièrent une expertise importante.

– Le cinquième axe consiste à se convaincre que les choix qui sont faits en termes de stratégie achat et d’investissements peuvent contribuer à améliorer l’image et donc à défaut de réaliser des économies, à développer la notoriété, et à véhiculer l’image d’un fournisseur désirable. Le tout est de communiquer sur ces investissements, et sur ce qui en fait des choix avantageux (économiquement, environnement parlant etc…

Dans la plupart des cas, quoi qu’il en soit aujourd’hui, il existe des offres marché de services, et de biens d’équipements industriels associés, compatibles avec la volonté d’ajuster au mieux ses investissements, le moins consommer et le moins polluer.

Il existe deux limites à cet exercice. La première est dans l’esprit de ceux qui consultent le marché. Ils doivent être animés par une volonté politique de faire mieux, et moins (cher, polluant, nombreux). L’autre limite consiste à décider de se laisser le temps de faire ce travail comparatif plus complet afin de prendre les bonnes décisions et atteindre les objectifs achat qui ont été fixés.

Aurélien AGESTA
Conseiller municipal à Maurepas
Responsable National Grands Comptes Industrie & Automotive chez Jungheinrich France

Sacha GAILLARD
Adjoint au Maire
Ville de Saint-Cloud
Président-fondateur d’EspriTerritoires

Police municipale : les nouveaux pouvoirs réclamés par les élus locaux

Constat

Tout comme l’Homme, la délinquance évolue avec son temps. L’individu la façonne à son image et à celle de son ère, si bien qu’elle devient au fur et à mesure un monstre échappant au contrôle de son créateur. La violence monte en puissance en s’insinuant de plus en plus dans le quotidien des citoyens. Liée à la guerre de l’islamisme radical contre la France et sa civilisation, cette violence confronte les pouvoirs publics aux faiblesses de notre propre système.

En vertu du Code général des collectivités territoriales, le Maire a la charge de la police municipale, de la police rurale ainsi que de l’exécution des actes étatiques qui y sont relatifs. A cet effet, il possède des pouvoirs de police générale, lui offrant la possibilité de mener des actions de sécurité, de tranquillité et de salubrité publiques. La création d’une police municipale constitue un levier d’action du Maire. Au plus proche des administrés, la police municipale s’impose comme étant un primo-intervenant majeur lors de la survenance d’une situation de menace pour la sécurité des Français ou lors de missions quotidiennes de sécurisation. Les récents tragiques évènements l’ont démontré, nos policiers municipaux sont en ligne de front et constituent à la fois une première force d’intervention de l’Etat et une cible.

En dépit de son rôle capital, la police municipale souffre depuis longtemps d’un manque cruel de considération de la part des pourvois publics. En 2018, face aux sénateurs de la commission d’enquête sur l’état des forces de sécurité intérieure, les représentants des syndicats de police municipale remontaient un manque de fluidité et de complémentarité dans le fonctionnement avec la police et la gendarmerie nationale. La philosophie n’étant pas d’amener la police municipale à supplanter la police ou la gendarmerie nationale mais bien de créer des synergies. Si leurs missions diffèrent, elles connaissent la même délinquance, la même violence. Or, le constat actuel est que la police municipale ne dispose ni de pouvoirs suffisants ni de moyens matériels et juridiques suffisants lui permettant d’apporter une réponse effective et efficace. Si les Maires ont pleinement conscience de cette triste réalité, ils ne sont pas les seuls. Ainsi, un sondage Odoxa, réalisé en janvier 2020 pour le baromètre « Fiducial de la sécurité » révélait que 6 français sur 10 étaient satisfaits de l’action de leur municipalité en matière de sécurité, mais que plus de 61% estimaient que les prérogatives du Maire en ce domaine étaient insuffisantes et mériteraient d’être revalorisées.

Ce qu’il se passe

C’est dans ce contexte de menace terroriste accrue et de mouvements de haine ‘’anti-flics’’ que la proposition de loi dite « Sécurité globale » de Jean-Michel Fauvergue et d’Alice Thourot, est adoptée en première lecture par l’Assemblée Nationale le mardi 24 novembre. Désirant faire face à une menace mouvante et protéiforme, le texte de loi a également pour objectif de renforcer l’action des polices municipales en leur octroyant certains pouvoirs jusque là uniquement détenus par la police judiciaire. Ainsi, les agents auront désormais la possibilité de constater des infractions du quotidien à l’image de la conduite sans permis et/ou sans assurance, de l’occupation illicite de terrain, de la détention de produits stupéfiants ou encore l’ivresse manifeste sur la voie publique. Ils pourront dispenser des amendes ou, par exemple, immobiliser des véhicules. Ces constatations d’infractions feront l’objet de procès-verbaux, que les policiers municipaux pourront directement transmettre au Maire et au Procureur de la République territorialement compétent, sans passer par l’intermédiaire d’un officier de police judiciaire.

Si les évolutions annoncées par cette loi vont dans le bon sens, répondant à des demandes de longues dates, nombreux sont les élus locaux a considéré qu’il serait nécessaire d’aller encore plus loin dans la réforme. Certains députés comme Madame Anne-Laure Blin, représentante du Maine-et- Loire, regrettent que l’article 1er, – octroyant ces nouveaux pouvoirs -, ne constitue qu’une expérimentation, limitée qu’à certaines communes possédant au moins vingt agents de police municipale. Si le Ministre de l’Intérieur, Gérald Darmanin, se dit prêt à revoir ce seuil, le Gouvernement a catégoriquement refusé la suppression de la phase expérimentale afin de donner directement les pouvoirs conférés par ledit article. Ce refus regrettable représente une nouvelle perte de temps dans une réforme nécessaire. Trop de temps a déjà été perdu. Nos policiers municipaux ont besoin d’actes forts, à l’application immédiate !

L’autre regret relatif à ce texte, pourtant prometteur, se cristallise sur la question de l’armement des policiers municipaux. En l’état actuel du droit, un Maire peut décider d’armer ses agents de police municipale en soumettant une demande motivée au préfet de département. Cette autorisation est nominative et ne peut se faire qu’après la signature d’une convention de coordination entre les forces de sécurité de l’Etat et la police municipale de la zone concernée. Un Maire a donc cette possibilité afin de soutenir l’action de ses agents dans leurs missions. Au 1er janvier 2019, la France dénombrait pas moins de 22 780 agents de police municipale, soit une augmentation de 11% depuis 2014. Au sein de ce chiffre, 12 000 policiers municipaux étaient équipés d’une arme à feu. Le Ministère de l’Intérieur note, à ce propos, qu’entre 2014 et 2019 le nombre d’armes à feu équipant les policiers municipaux a augmenté de 63%. Le constat est là. Les Maires sont de plus en plus enclins à recourir à cette possibilité qu’offre la loi en dotant leurs agents d’armes à feu. Ces chiffres révèlent une prise de conscience quant aux risques qu’encourent les policiers municipaux chaque jour. Dans cette optique, alors Ministre de l’Intérieur, Bernard Cazeneuve avait sommé les préfets, par une circulaire du 23 juillet 2016, à ne plus faire obstacle aux demandes d’autorisation de port d’arme, avant de faire modifier l’article L.511-5 du Code de la sécurité intérieure. Aujourd’hui, face aux récents évènements, les élus locaux invitent à passer un cap en renversant la vapeur. Faire de l’armement des policiers municipaux la règle et non plus l’exception. Que se serait-il passé si les policiers municipaux de Nice n’avaient pas été armés lors de l’attaque au couteau au sein de la basilique Notre-Dame de l’Assomption ? Aussi bien pour les protéger que pour assurer l’effectivité de leurs réponses, l’obligation de les armer apparaît comme évident, voir inévitable. A cet effet, des amendements ont été présentés afin faire l’obligation d’armement la règle et la dérogation l’exception. Les Maires ne désirant par armer leurs policiers municipaux auraient alors déposé une demande de dérogation auprès du préfet concerné, les laissant libres de choisir. Là encore, les parlementaires ont dû accuser un rejet de la part de Gérald Darmanin.


D’insuffisantes réponses

Face à un Exécutif qui avance à tâtons sur des réformes majeures, les élus locaux sont plongés dans une incompréhension totale. Comment comprendre que le Gouvernement rejette d’étendre ce contrôle d’identité aux policiers municipaux ? Comment admettre qu’à l’ère du terrorisme et d’une montée en puissance de la violence que les polices municipales ne soient pas toutes armées afin de faire face ? Comment comprendre..? Jusqu’à une adoption définitive du texte, les élus locaux vont devoir être encore et toujours en première ligne afin d’assurer la sécurité des Français. Si le Gouvernement peut décider d’agir concrètement ou non, les Maires, eux, n’ont pas le choix. La sécurité étant la première des libertés, elle constitue la première des priorités de leur mandat afin d’empêcher l’Homme d’être un loup pour l’Homme…

Constance BRAUT
Collaboratrice parlementaire
Conseillère municipale déléguée à la sécurité publiqueet à la protection animale

Ville de Levallois 

Sacha GAILLARD
Adjoint au maire
Ville de Saint-Cloud
Président-fondateur d’EspriTerritoires

Torquent per conubia nostra

Curabitur sodales ligula in libero. Sed dignissim lacinia nunc. Curabitur tortor. Pellentesque nibh. Aenean quam. In scelerisque sem at dolor. Maecenas mattis. Sed convallis tristique sem. Proin ut ligula vel nunc egestas porttitor. Morbi lectus risus, iaculis vel, suscipit quis, luctus non, massa. Fusce ac turpis quis ligula lacinia aliquet. Mauris ipsum nulla metus metus ullamcorper.

\"\"
\"\"
\"\"
\"\"

Curabitur sodales ligula in libero. Sed dignissim lacinia nunc. Curabitur tortor. Pellentesque nibh. Aenean quam. In scelerisque sem at dolor. Maecenas mattis. Sed convallis tristique sem. Proin ut ligula vel nunc egestas porttitor. Morbi lectus risus, iaculis vel, suscipit quis, luctus non, massa. Fusce ac turpis quis ligula lacinia aliquet. Mauris ipsum nulla metus metus ullamcorper.Curabitur sodales ligula in libero. Sed dignissim lacinia nunc. Curabitur tortor. Pellentesque nibh. Aenean quam. In scelerisque sem at dolor. Maecenas mattis. Sed convallis tristique sem. Proin ut ligula vel nunc egestas porttitor. Morbi lectus risus, iaculis vel, suscipit quis, luctus non, massa. Fusce ac turpis quis ligula lacinia aliquet. Mauris ipsum nulla metus metus ullamcorper.

Class aptent taciti sociosqu

Curabitur sodales ligula in libero. Sed dignissim lacinia nunc. Curabitur tortor. Pellentesque nibh. Aenean quam. In scelerisque sem at dolor. Maecenas mattis. Sed convallis tristique sem. Proin ut ligula vel nunc egestas porttitor. Morbi lectus risus, iaculis vel, suscipit quis, luctus non, massa. Fusce ac turpis quis ligula lacinia aliquet. Mauris ipsum nulla metus metus ullamcorper.

\"\"
\"\"
\"\"
\"\"

Curabitur sodales ligula in libero. Sed dignissim lacinia nunc. Curabitur tortor. Pellentesque nibh. Aenean quam. In scelerisque sem at dolor. Maecenas mattis. Sed convallis tristique sem. Proin ut ligula vel nunc egestas porttitor. Morbi lectus risus, iaculis vel, suscipit quis, luctus non, massa. Fusce ac turpis quis ligula lacinia aliquet. Mauris ipsum nulla metus metus ullamcorper.Curabitur sodales ligula in libero. Sed dignissim lacinia nunc. Curabitur tortor. Pellentesque nibh. Aenean quam. In scelerisque sem at dolor. Maecenas mattis. Sed convallis tristique sem. Proin ut ligula vel nunc egestas porttitor. Morbi lectus risus, iaculis vel, suscipit quis, luctus non, massa. Fusce ac turpis quis ligula lacinia aliquet. Mauris ipsum nulla metus metus ullamcorper.

Praesent libro cursus ante

Curabitur sodales ligula in libero. Sed dignissim lacinia nunc. Curabitur tortor. Pellentesque nibh. Aenean quam. In scelerisque sem at dolor. Maecenas mattis. Sed convallis tristique sem. Proin ut ligula vel nunc egestas porttitor. Morbi lectus risus, iaculis vel, suscipit quis, luctus non, massa. Fusce ac turpis quis ligula lacinia aliquet. Mauris ipsum nulla metus metus ullamcorper.

\"\"
\"\"
\"\"
\"\"

Curabitur sodales ligula in libero. Sed dignissim lacinia nunc. Curabitur tortor. Pellentesque nibh. Aenean quam. In scelerisque sem at dolor. Maecenas mattis. Sed convallis tristique sem. Proin ut ligula vel nunc egestas porttitor. Morbi lectus risus, iaculis vel, suscipit quis, luctus non, massa. Fusce ac turpis quis ligula lacinia aliquet. Mauris ipsum nulla metus metus ullamcorper.Curabitur sodales ligula in libero. Sed dignissim lacinia nunc. Curabitur tortor. Pellentesque nibh. Aenean quam. In scelerisque sem at dolor. Maecenas mattis. Sed convallis tristique sem. Proin ut ligula vel nunc egestas porttitor. Morbi lectus risus, iaculis vel, suscipit quis, luctus non, massa. Fusce ac turpis quis ligula lacinia aliquet. Mauris ipsum nulla metus metus ullamcorper.

Velusce suscipit quis luctus

Curabitur sodales ligula in libero. Sed dignissim lacinia nunc. Curabitur tortor. Pellentesque nibh. Aenean quam. In scelerisque sem at dolor. Maecenas mattis. Sed convallis tristique sem. Proin ut ligula vel nunc egestas porttitor. Morbi lectus risus, iaculis vel, suscipit quis, luctus non, massa. Fusce ac turpis quis ligula lacinia aliquet. Mauris ipsum nulla metus metus ullamcorper.

\"\"
\"\"
\"\"
\"\"

Curabitur sodales ligula in libero. Sed dignissim lacinia nunc. Curabitur tortor. Pellentesque nibh. Aenean quam. In scelerisque sem at dolor. Maecenas mattis. Sed convallis tristique sem. Proin ut ligula vel nunc egestas porttitor. Morbi lectus risus, iaculis vel, suscipit quis, luctus non, massa. Fusce ac turpis quis ligula lacinia aliquet. Mauris ipsum nulla metus metus ullamcorper.Curabitur sodales ligula in libero. Sed dignissim lacinia nunc. Curabitur tortor. Pellentesque nibh. Aenean quam. In scelerisque sem at dolor. Maecenas mattis. Sed convallis tristique sem. Proin ut ligula vel nunc egestas porttitor. Morbi lectus risus, iaculis vel, suscipit quis, luctus non, massa. Fusce ac turpis quis ligula lacinia aliquet. Mauris ipsum nulla metus metus ullamcorper.

Sociosqu ad litora torquent

Curabitur sodales ligula in libero. Sed dignissim lacinia nunc. Curabitur tortor. Pellentesque nibh. Aenean quam. In scelerisque sem at dolor. Maecenas mattis. Sed convallis tristique sem. Proin ut ligula vel nunc egestas porttitor. Morbi lectus risus, iaculis vel, suscipit quis, luctus non, massa. Fusce ac turpis quis ligula lacinia aliquet. Mauris ipsum nulla metus metus ullamcorper.

\"\"
\"\"
\"\"
\"\"

Curabitur sodales ligula in libero. Sed dignissim lacinia nunc. Curabitur tortor. Pellentesque nibh. Aenean quam. In scelerisque sem at dolor. Maecenas mattis. Sed convallis tristique sem. Proin ut ligula vel nunc egestas porttitor. Morbi lectus risus, iaculis vel, suscipit quis, luctus non, massa. Fusce ac turpis quis ligula lacinia aliquet. Mauris ipsum nulla metus metus ullamcorper.Curabitur sodales ligula in libero. Sed dignissim lacinia nunc. Curabitur tortor. Pellentesque nibh. Aenean quam. In scelerisque sem at dolor. Maecenas mattis. Sed convallis tristique sem. Proin ut ligula vel nunc egestas porttitor. Morbi lectus risus, iaculis vel, suscipit quis, luctus non, massa. Fusce ac turpis quis ligula lacinia aliquet. Mauris ipsum nulla metus metus ullamcorper.